Une bande d'incompétent au parlement. 500 crétins ou presque....

l'Assemblée nationale s'apprête à mettre en discussion, dès le 10 février, un projet de loi « Hôpital, patient, santé, territoire » dans lequel le volet alcool va être abordé sous forme d'interdits : interdiction de vente aux mineurs, interdiction de vente dans les stations services de 22 h à 6 h, et surtout interdiction de vente au forfait. Il s'agit de lutter contre les trop fameux « open bars » ouverts avec beaucoup de laxisme, il est vrai, aux étudiants. Mais cela inclut aussi les simples dégustations… chez le petit viticulteur du coin comme dans les grands salons professionnels. Autrement dit, achetez d'abord, vous boirez ensuite. Et vous verrez si vous ne vous êtes pas trompé…
Évidemment, c'est la mort annoncée de tous les salons viticoles dont la raison essentielle est d'y goûter la production. Sinon, quel intérêt de se contenter de regarder des bouteilles ? « Cette loi nous pénalise pour des dommages que nous ne commettons pas », ajoute Mme Tarby-Maire qui espère bien que les élus sauront l'amender. En s'appuyant sur une campagne responsable et non culpabilisante. Avec le franc-parler qu'on lui connaît, Pierre Aguilas, le président du salon, a parlé de « cataclysme législatif, d'officines néfastes et des tristes sirs » qui s'apprêtent à faire de la France le pays le plus « anti-vin » au monde !