Islam, religion de paix, d'amour et de tolérance ...

Procès Lhermitte : l'accusée, en pleurs, évacuée de la salle(10/12/2008)
Elle n'a pas supporté l'exposé par le médecin légiste de toutes les lésions qu'elle a infligées à ses enfants.

Belgique
Geneviève Lhermitte, en pleurs, a été évacuée mercredi, peu avant 15h30, de la salle de la cour d'assises de Nivelles car elle ne pouvait supporter l'exposé par le médecin légiste de toutes les lésions qu'elle a infligées à ses enfants lorsqu'elle les a égorgés l'un après l'autre.

Le Dr Bonbled avait entamé son exposé sur les constatations qu'il a effectuées sur les corps mutilés lorsque Geneviève Lhermitte a éclaté en pleurs. Criant et pleurant de douleur, Geneviève Lhermitte ne l'a pas supporté. Elle a hurlé quelques mots difficilement audibles et notamment "arrêtez, arrêtez c'est la faute de Schaar" ou "mes enfants, mes enfants".

Le président de la cour d'assises a préféré ne pas interrompre l'exposé du Dr Bonbled et a demandé aux deux policiers qu'il évacue Geneviève Lhermitte de la salle d'assises.
DHNET

Suite :
L'accusée dit n'avoir pas trouvé la paix intérieure dans le Coran qu'elle a lu.
La fin du long interrogatoire de Geneviève Lhermitte, hier matin, a encore connu quelques moments forts.

Ainsi, elle a vraiment réalisé toute l'étendue de son acte épouvantable lorsqu'elle a vu les photos de ses enfants sur la table d'autopsie !

Et à la question : pourquoi, vivant un enfer, elle n'est pas partie ? "Il connaît pas mal de monde, il aurait pu nous (faire) tuer !"

Autre interrogation : comment a-t-elle pu se procurer, en prison, le matériel avec lequel elle a tenté de se suicider ? "C'était avec la cordelette de mon capuchon et le foulard dont nous disposions pour la prière."

Le mélange des cultures est un élément omniprésent dans la tragédie de Nivelles. Apparemment, cela ne posait pas trop de problème, car l'intégration de l'accusée au milieu arabe s'était faite sans difficulté. Elle entretenait de bonnes relations avec sa belle-famille et aimait se rendre au Maroc.

En revanche, les rapports hommes-femmes, très différents dans les deux pays, ont probablement joué un rôle important dans le déroulement des faits, puisque Lhermitte n'avait manifestement pas la même notion que Moqadem du rôle du mari dans le ménage.

La religion , elle, n'a cependant joué aucun rôle, au contraire : la quintuple infanticide a expliqué à la cour qu'elle fut à deux doigts de se convertir à l'islam en prison, alors que toute sa famille est libre exaministe :

"C'est vrai, mais j'ai eu la visite de la conseillère islamique. Dans un état de désespérance, on se raccroche souvent à la religion. Je me forçais à croire en Dieu parce que mon espoir, c'est qu'il y ait un paradis pour mes enfants. Pendant un certain temps, j'ai fait mes ablutions et j'ai prié cinq fois par jour. Si j'avais choisi l'islam, c'est parce que je voulais être enterrée dans le cimetière musulman, à côté de mes enfants."

Le président lui demande, alors, pourquoi elle a finalement renoncé à son projet :

"C'était juste avant le ramadan que j'ai décidé de ne pas faire; le Coran, que j'ai lu, mes ablutions et mes prières ne m'apportaient ni la solution ni la paix intérieure. Je me suis, alors, détachée de la religion musulmane. En réalité, j'ai besoin de croire, mais je ne sais pas en qui..."
DHNET

Arabie Saoudite, pays des droits de l’homme
C’est une première en Arabie saoudite : un membre de la police religieuse, la milice des « Moutawaa » qui veille à la bonne application de la charia islamique, a assassiné sa propre sœur, après avoir appris qu’elle s’était convertie au christianisme. Il l’a lapidée et brûlée et lui a coupé la langue, la laissant agoniser jusqu’à la mort.

Le site « Aafaq.org » affirme que « la jeune Fatima Bint Mohammed Ben Othman Al-Matiri (26 ans), originaire de la province Est, a eu une conversation avec sa mère et son frère, au cours de laquelle la jeune convertie a défendu Jésus-Christ, suscitant la colère de sa famille et poussant son frère à l’espionner ».

Le religieux a réussi à s’emparer de l’ordinateur de sa sœur et y a découvert des textes qu’elle avait écrits concernant sa nouvelle religion, et ses louages du Christ. La jeune Fatima participait, sous plusieurs pseudonymes, à des forums de chrétiens et de néo-convertis, notamment des Coptes. Elle défendait « la liberté religieuse et de la foi », critiquant l’islam et son hégémonie. Dans l’une de ses contributions, « elle comparait le Christ à Mahomet, favorisant les prêches pacifiques de Jésus et dénonçant l’islam, ainsi que la vie controversée de Mahomet... », précise « Aafaq.org ». Son frère, membre de la milice islamique, n’a pas supporté le comportement de sa sœur. Il s’est alors acharné sur sa victime, ne lui laissant aucune chance de survie.

Peu avant son meurtre, et en apprenant que son cas venait d’être dévoilé, la jeune Fatima avait écrit son dernier message au forum des « chrétiens arabes », faisant état de sa peur. Mais elle a rassuré ses lecteurs que « Jésus était sa lumière et sera son compagnon », et qu’elle ne craignait rien. De ce fait, Fatima aura été la « première martyre chrétienne d’Arabie saoudite ».

Si la date de cet assassinat n’est pas précisée, il n’en demeure pas moins que l’assassin est actuellement en détention, et les autorités tentent d’étouffer l’affaire par crainte de la réaction de l’opinion internationale.

En effet, de telles révélations sont dommageables et l’image de l’Arabie saoudite pourrait en pâtir si la communauté internationale s’emparait de ce meurtre. Les proches de la victime tentent de leur côté de présenter le meurtre comme une affaire de mœurs. Mais le fait que plusieurs sites internet s’en soient emparés risque de porter préjudice au pouvoir saoudien et à l’institution religieuse. Les wahhabites, qui financent les conversions à l’islam à travers le monde, et notamment en Europe (religion du pardon et de la miséricorde, disent-ils), et qui défendent le droit des musulmans dans les pays non-islamiques, ont une autre vision du pardon et de la miséricorde et l’applique avec le sabre dans le propre pays et au sein de leurs familles.
Un bel exemple de piété.
Source : Kabyles.net

AFP
Des talibans de la très instable vallée de Swat, dans le nord-ouest du Pakistan, ont interdit aux filles d'aller à l'école à partir de janvier et menacé de tuer toutes celles qui braveraient cet ordre, ont annoncé jeudi des responsables locaux.

L'interdiction a été décrétée cette semaine par un chef taliban local, Shah Durran, dans un message diffusé par une station de radio illégale de la région, selon les mêmes sources.

"Vous avez jusqu'au 15 janvier pour arrêter d'envoyer vos filles dans les écoles. Si vous passez outre cet avertissement, nous tuerons ces filles", a déclaré le chef taliban, selon un responsable local. "Nous avertissons également les écoles qu'elles ne doivent accueillir aucune fille, sinon nous ferons exploser leurs bâtiments", a-t-il ajouté selon la même source. La vallée montagneuse de Swat était jusqu'à l'an dernier une destination touristique populaire, où se trouve notamment la seule station de ski du pays.

Un jouet chrétien distribué avec un repas pour enfants dans un resto familial. La famille musulmane demande des excuses formelles.
CAIR absolument HORRIFIÉ ! Un jouet chrétien distribué avec un repas pour enfants dans un resto familial. Exige une enquête !
samedi 20 décembre 2008
Il faudrait que quelqu’un prenne le temps d’expliquer à CAIR que les États-Unis sont encore un pays majoritairement chrétien...

CAIR-MIN exige de plus que le personnel de la société qui possède la chaîne de restaurant participe aux cours de sensibilité culturelle offerts par CAIR... autrement dit, des cours de propagande et du prosélytisme islamique...

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Le chapitre du Minnesota du Conseil sur les relations américano-islamiques (CAIR) réclame une enquête sur une plainte déposée contre le restaurant Long John Silver dans le centre commercial Mall of America.

CAIR-MN veut que Yum ! Brands, la société mère qui possède la chaîne de restaurants, examine une plainte dénonçant la distribution de littérature religieuse avec un repas pour enfants.

Selon CAIR-MN, une famille musulmane a mangé à ce restaurant en novembre et a commandé un repas pour enfants pour leur fils de trois ans. Le jouet qui accompagnait le repas était un bloc-notes comprenant une citation de la Bible. La famille a demandé un autre jouet, mais s’est fait dire que seul ce jouet était offert.

CAIR-MN veut que Yum ! Brands revoit sa politique de distribution de jouets.

Dans son communiqué de presse, CAIR-MIN exige de Yum ! Brands, outre une enquête :
* Des excuses formelles, par écrit, à la famille musulmane,
* Revoir la politique de distribution dans tous ses restaurants et s’assurer que pareil incident ne se produise plus jamais,
* Une participation aux cours de « sensibilité à la diversité » offerts par CAIR.
http://pointdebasculecanada.ca/spip.php?breve1313