Braquage du H&M : 2 mises en examen ...
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Braquage du H&M : 2 mises en examen ...
Deux jeunes de 17 et 18 ans ont été mis en examen pour le braquage en juin dernier du siège social de H&M à Paris au cours duquel 200.000 euros ont été dérobés. Poursuivis pour "vol à main armée", ils ont été placés en détention provisoire conformément aux réquisitions du parquet.
Quatre suspects, âgés de 17 et 18 ans et originaires d'Epinay-sur-Seine et de Bagnolet (Seine-Saint-Denis) avaient été interpellés le 25 novembre par la Première division de police judiciaire (DPJ). Deux d'entre eux ont mis en examen et les deux autres ont été remis en liberté, a-t-on appris de source proche de l'enquête.
Ils étaient soupçonnés de s'être introduits le 30 juin vers 6h30 dans les bureaux de H&M situés au-dessus d'un magasin boulevard Haussmann à Paris. Encagoulés et munis d'armes de poing, les assaillants avaient pris en otages une cinquantaine d'employés.
Les malfrats avaient fait usage de gaz lacrymogène et frappé un responsable de la marque de prêt-à-porter. Ils avaient ainsi réussi à se faire ouvrir le coffre-fort qui contenait 200.000 euros, et non 300.000 comme cela avait été annoncé au moment des faits, avant de s'enfuir.
Connus des services de police, les suspects auraient notamment été confondus grâce à des images de vidéosurveillance du quartier. Une imitation d'arme de poing, 7.500 euros en argent liquide, et des stupéfiants auraient été saisis lors des perquisitions.
Figaro
Quatre suspects, âgés de 17 et 18 ans et originaires d'Epinay-sur-Seine et de Bagnolet (Seine-Saint-Denis) avaient été interpellés le 25 novembre par la Première division de police judiciaire (DPJ). Deux d'entre eux ont mis en examen et les deux autres ont été remis en liberté, a-t-on appris de source proche de l'enquête.
Ils étaient soupçonnés de s'être introduits le 30 juin vers 6h30 dans les bureaux de H&M situés au-dessus d'un magasin boulevard Haussmann à Paris. Encagoulés et munis d'armes de poing, les assaillants avaient pris en otages une cinquantaine d'employés.
Les malfrats avaient fait usage de gaz lacrymogène et frappé un responsable de la marque de prêt-à-porter. Ils avaient ainsi réussi à se faire ouvrir le coffre-fort qui contenait 200.000 euros, et non 300.000 comme cela avait été annoncé au moment des faits, avant de s'enfuir.
Connus des services de police, les suspects auraient notamment été confondus grâce à des images de vidéosurveillance du quartier. Une imitation d'arme de poing, 7.500 euros en argent liquide, et des stupéfiants auraient été saisis lors des perquisitions.
Figaro
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