Coups de couteau ...

Seine Maritime
Une femme de 45 ans, soupçonnée d'avoir frappé notamment avec un couteau, quatre policiers qui voulaient l'empêcher de communiquer depuis la rue avec un détenu, dans la nuit de mardi à mercredi au Havre, a été placée en garde à vue.

Les faits se sont produits peu après minuit alors que cette femme parlait bruyamment depuis la rue avec un détenu de la maison d'arrêt âgé de 18 ans.

Alerté par les voisins qui se plaignaient du vacarme, le commissariat a envoyé sur les lieux une voiture avec quatre policiers à son bord.

Selon la police, la femme a refusé d'obtempérer et a sorti un couteau avec lequel elle a frappé trois policiers, dont l'un a été «sérieusement» entaillé à l'avant-bras. Le quatrième a reçu un coup de pied au visage.

Finalement maîtrisée, la femme a été conduite au commissariat où elle a été placée en garde à vue. Elle devait faire l'objet jeudi d'une procédure de comparution immédiate devant le tribunal correctionnel, notamment pour outrages envers personnes dépositaires de l'autorité publique et violences avec arme.
AFP

Une querelle de voisinage qui dégénère.
Rhône
Une femme de 22 ans a été blessée à l’omoplate à coup de couteau par la fille de sa voisine dans leur immeuble du 9e arrondissement de Lyon mercredi.
La victime s’est vue prescrire 3 jours d’ITT.

La jeune fille et sa mère, qui avait auparavant attaqué sa voisine avec du gaz lacrymogène, ont reconnu les faits et comparaîtront devant la justice en juin prochain.
mLyon

Viol dans un kot d'étudiante.
Sabri avait trouvé un prétexte pour entrer dans l'appartement. Six ans de prison ferme.

BRUXELLES, Belgique
Le matin du 17 janvier 2007, Sabri ,    un ressortissant français de 23 ans, sonne à la porte d'un appartement occupé par quatre étudiants, près de la rue Neuve.

Une jeune femme de 20 ans ouvre. Il a lui-même le profil d'un étudiant. "Je voudrais un peu de sel" , dit cet étonnant personnage. C'est étrange mais la jeune étudiante se dit in petto : "Qu'à cela ne tienne !"

Cependant, le piège est tendu et il va se refermer implacablement.

Lorsqu'elle tourne le dos pour se diriger vers la cuisine, il l'attrape par le cou et lui pointe son couteau sous la gorge. "Je coupe ? Je coupe ou quoi ?" , menace l'agresseur.
La victime est obligée de se laisser faire. il la frappe, la pousse sur un divan et la viole en gardant le couteau à proximité du visage de la victime. Il la bat à nouveau, lui prend son slip et son pantalon, jette les vêtements dans un sac de sport, ramasse tous les objets de valeur et fait cracher à la plaignante les codes secrets de ses cartes bancaires.

Toujours sous la menace de son arme, il conduit l'étudiante dans la salle de bain et l'y enferme à clé.

Ensuite, il rafle tout ce qu'il trouve encore dans les autres chambres et disparaît.

Appelée par un voisin, la police libérera la plaignante.

Les tests ADN sont réalisés et il est confondu en raison d'autres antécédents. Il ne sera arrêté qu'en juin dernier.

Le tribunal correctionnel de Bruxelles vient de condamner ce triste individu à six ans de prison ferme pour viol et vol avec violences.

Il tue son voisin à coups de couteau
Un habitant de La Ciotat (Bouches-du-Rhône) âgé d'une trentaine d'années a tué l'un de ses voisins de quatre coups de couteau tôt ce matin, rapporte le quotidien La Provence sur son site internet.

L'homme, qui s'est ensuite retranché dans son appartement, a finalement été interpellé. Les motifs du meurtre ne sont pas encore connues.

Ain
Le corps d'une femme tuée à l'arme blanche a été découvert vendredi matin par un passant dans un magasin faisant office de relais pour la Poste à Montréal-la-Cluse.
L'identité et l'âge de la victime n'ont pas été communiqués.
Le Parquet de Bourg-en-Bresse a ouvert une enquête.

Un jeune homme d'une vingtaine d'années a été mortellement poignardé dimanche soir par un autre jeune à Roquebillère (Alpes-Maritimes).
Les faits se sont produits vers 19h30, sur la voie publique, à l'écart du centre du village. Dans un premier temps, le couteau aurait été sorti par la victime. Puis l'auteur présumé des faits se serait saisi de l'arme pour la retourner contre l'infortuné.

Il a été interpellé. Les premiers éléments de l'enquête laissent supposer qu'une altercation est à l'origine du drame, même si les motifs demeurent flous.

Deux jeunes femmes poignardées à Paris
Deux jeunes femmes asiatiques d'une vingtaine d'années ont été mortellement poignardées dans le XIe arrondissement de Paris mardi soir, vers 20 h 30. Le meurtre s'est déroulé, 15 rue Crussol, à deux pas du Cirque d'Hiver. Christophe Lambert, le directeur de cabinet du préfet de police, s'est immédiatement rendu sur place. L'enquête a été confiée par le parquet de Paris à la brigade criminelle de la police judiciaire parisienne.

C'est en rentrant chez elle qu'une habitante de ce petit immeuble de deux étages a découvert sur le palier du premier étage une jeune fille blessée à l'arme blanche au niveau du cou. Après avoir appelé les secours, plusieurs voisins sont entrés dans l'appartement mitoyen : une deuxième jeune femme y gisait sur le sol, également égorgée. Lorsque les pompiers et les policiers sont arrivés, les deux femmes étaient déjà mortes. De source policière, on indiquait qu'il pourrait s'agir de deux prostituées.

Selon une voisine, Pauline, interrogée par Le Figaro, les deux jeunes femmes s'étaient installées dans l'appartement «il y a trois ou quatre mois». Plusieurs personnes dans l'immeuble se seraient plaintes d'«allées et venues incessantesd'un grand nombre de personnes», soupçonnant l'existence d'une chambre de passe.

Règlement de compte :
Ces derniers jours, la police parisienne s'est précisément lancée dans une opération de grande envergure contre la prostitution asiatique à Paris. Ce double meurtre pourrait-il résulter d'un règlement de comptes contre des «filles» trop bavardes ? Peu avant minuit, les fonctionnaires de la police technique et scientifique étaient toujours sur place pour relever des indices permettant d'identifier l'auteur ou les auteurs de ce double meurtre. La police avait installé un périmètre de sécurité autour de l'immeuble pour tenir à distance les curieux.
AFP

59 coups de couteau l'envoient en prison
Un homme de 52 ans, récidiviste, a été condamné mardi soir à 25 ans de réclusion criminelle par la cour d'assises d'Indre-et-Loire à Tours pour avoir tué en 2006 un homme de 59 coups de couteau, a-t-on appris mercredi de source judiciaire.

François Chevalier était jugé pour "meurtre, vol et escroquerie". Sa condamnation est assortie d'une peine de sûreté de 16 ans.

Le 10 février 2006, il avait sauvagement tué de 59 coups de couteau portés au visage et à la gorge un compagnon de foyer à Tours, à l'issue d'une querelle d'ivrognes.

En 1987, cet ancien légionnaire avait été condamné à neuf ans de prison par la cour d'assises de l'Aveyron pour avoir tué un ami de sa première épouse.

Source : AFP

Un ado mortellement poignardé à Nice, 06
AFP
Un adolescent de 16 ans est mort des suites d'une agression à coups de couteau survenue aujourd'hui dans la cour d'un immeuble près du centre-ville de Nice, a-t-on appris de source judiciaire.

Le jeune homme a été trouvé dans un état critique par les secours, alertés en milieu d'après-midi par des riverains ayant entendu des cris. Il est décédé sur place peu de temps après, a-t-on précisé de source proche de l'enquête.

Vaucluse : blessé à coups de couteau par deux cambrioleurs
Un artisan de 41 ans a surpris ses voleurs en pleine nuit
Un cambriolage qui aurait mal tourné. Dans la nuit de jeudi à vendredi, peu après 3 heures, un homme de 41 ans a été sérieusement blessé de plusieurs coups de couteau assenés par des cambrioleurs. La victime, un artisan-peintre installé dans la zone artisanale Campveires à Morières, aurait été réveillée par l'alarme de son garage. Un local abritant notamment ses deux motos.

L'homme aurait alors quitté sa chambre pour se rendre au garage. Pendant ce temps, son épouse se serait postée devant la porte d'entrée. C'est par là que deux hommes auraient pénétré dans l'habitation. Les deux malfrats auraient alors brutalisé l'épouse qui a été saisie par les cheveux. Entendant ses cris, le mari aurait alors volé à son secours et c'est à ce moment-là que l'altercation a éclaté.

L'homme encaisse un coup de genou en pleine tête, puis un coup de crosse sur la nuque, l'arme est un pistolet à billes. L'un des agresseurs va ensuite asséner des coups de couteau à l'artisan, dont l'un très profond qui a touché l'os au bras gauche. Les deux voleurs ont ensuite pris la fuite avec un maigre butin, une quarantaine d'euros.

Que cherchaient-ils réellement ? Peut-être les deux motos…. L'un des deux malfrats aurait eu sa cagoule arrachée durant l'altercation. Hier matin, les gendarmes ont passé la maison et ses environs au crible afin de retrouver des indices, et notamment le couteau.

Sans succès semble-t-il les agresseurs l'ayant certainement emporté dans leur fuite. À noter que les deux enfants du couple étaient dans leur chambre au moment de l'agression. La victime a été transportée au centre hospitalier. Ses jours n'étaient pas en danger.
La Provence

Alsace
Un jeune homme poignardé devant un IMP

Une adolescente de 17 ans a poignardé lundi un camarade, le blessant grièvement, devant un Institut médico-éducatif et professionnel de la banlieue de Mulhouse. La scène s'est déroulée vers 8h30 du matin, à l'arrêt de bus situé devant l'IMP de Lutterbach, qui accueille des adolescents déficients légers et moyens où les deux jeunes étaient scolarisés. Le jeune homme, âgé de 18 ans, a été touché dans la région du coeur et se trouvait toujours hospitalisé en fin d'après-midi. La jeune fille a été interpellée et placée en garde à vue.

L'IMP de Lutterbach accueille des déficients légers et moyens, avec ou sans troubles associés, troubles du comportement, orientés par la Commission des Droits et de l'Autonomie. Selon son site internet, l'établissement accueille 66 jeunes et semi-internat et 12 jeunes filles en internat.
LCI

Poignardé pour une cigarette
AFP
Un adolescent de 16 ans, soupçonné d'avoir frappé à coups de canif un passant de 24 ans à qui il réclamait une cigarette, à Roanne (Loire), a été mis en examen pour violences aggravées et écroué aujourd'hui, a-t-on appris de source proche de l'enquête.

Jeudi dernier à la mi-journée, le jeune SDF avait abordé le jeune homme pour lui demander une cigarette. Ce dernier avait répondu qu'il n'en avait pas. Au cours de l'altercation qui s'en était suivie, l'adolescent avait sorti un canif et lui avait porté deux coups à l'abdomen.

La lame du couteau s'était cassée sous la violence des coups portés à quelques millimètres de l'artère fémorale, selon la même source. La victime avait brièvement poursuivi son agresseur avant de s'effondrer. Secourue par trois passantes, elle a dû subir une intervention chirurgicale à Roanne. Ses jours ne sont plus en danger.
L'agresseur présumé a été interpellé par les policiers de la Brigade anticriminalité (BAC) samedi en compagnie d'un autre mineur à la suite du cambriolage d'une maison à Mably (Loire), près du lieu de l'agression.

Lyon, Rhône
Une jeune fille de 14 ans a été interpellée hier en fin de matinée au centre commercial de la Part Dieu.
Elle est soupçonnée d’avoir dérobé des cosmétiques puis elle a tenté de porter un coup avec une paire de ciseaux à un agent de sécurité.
La jeune fille doit être présentée au Parquet dans la journée.

Une femme de 25 ans a été poignardée mortellement devant son domicile vendredi à Champigneulles (Meurthe-et-Moselle) près de Nancy.

Son ancien conjoint âgé de 44 ans dont elle était s'était récemment séparé, a été interpellé à Bayon, à 40 km du lieu de l'agression.

Placé en garde à vue, il a nié les faits, a précise le parquet.

Le corps de la victime a été découvert vers 9 heures, gisant au pied de l'immeuble où elle était domiciliée. Sept coups de couteau à grosse lâme ont été relevés par le médecin légiste.

La victime venait d'emmener son enfant à l'école maternelle et s'apprêtait à regagner son domicile quand elle a dû être surprise par son agresseur, toujours selon le parquet. Ce dernier ne privilégie aucune piste, mais s'oriente plutôt vers l'hypothèse d'un drame familial.

La gendarmerie est chargée de l'enquête.

L'évadé de Niort retrouvé
L'homme âgé de 43 ans et auteur de l'assassinat d'une jeune femme en 2006 dans la Vienne, qui s'était évadé dimanche du centre hospitalier de Niort, s'est présenté mardi matin au centre psychiatrique de Cadillac (Gironde) où il a été hospitalisé.

Farid Yazizaine a déjà séjourné dans cette unité pour malades difficiles (UMD).

Hospitalisé en octobre 2007 à Niort, il avait été interné en avril 2008 à Cadillac avant de revenir à Niort en octobre 2008.

Selon son avocat, Lee Kakhedmit, son client «ne se sentait pas bien» et «se plaignait» des conditions d'internement à Niort. Il s'est présenté mardi à 9h30 au centre de Cadillac.

L'homme avait, dans la nuit du 19 au 20 juin 2006, poignardé de 25 coups de couteau Sonya Bouquet, 24 ans, escort-girl, dans l'appartement de celle-ci à Buxerolles (Vienne).

«L'homme est parti de l'établissement dimanche à la suite d'une négligence», avait déclaré lundi à la presse le procureur de la République de Niort, Xavier Pavageau. «Nous allons désormais nous employer à déterminer ce qu'il a fait pendant les deux jours de sa cavale», a-t-il indiqué mardi.

Selon les explication lundi du directeur du centre hospitalier de Niort, Bruno Faulconnier, M. Yazizaine qualifié de «sans doute dangereux» s'était évadé en «entrant dans un local qui n'est pas accessible normalement aux patients», via une porte qui normalement «doit rester fermée».

Il était «ensuite passé par la fenêtre» et avait «réussi à franchir l'enceinte de l'établissement», selon la même source. Une enquête interne a été ouverte à l'hopital.

Farid Yazizaine était un voisin de Sonya Bouquet. Il avait été interpellé deux jours après le drame, au centre hospitalier psychiatrique Henri Laborit, à Poitiers, où il s'était rendu en état de choc.

Mis en examen pour «assassinat», il avait été déclaré irresponsable par les psychiatres chargés de l'examiner. Le juge d'instruction avait suivi les experts médicaux et rendu une ordonnance de non-lieu, demandant le placement d'office dans un établissement spécialisé.

Lyon, Rhône
Un homme d'une trentaine d'années a avoué dimanche lors de sa garde à vue avoir tué et décapité, pour «un motif d'ordre privé», un sexagénaire résidant dans son immeuble à Lyon et dont le corps mutilé avait été découvert samedi.

Le meurtrier présumé et son jeune frère, de nationalité algérienne, avaient été interpellés samedi vers 17 heures et placés en garde à vue au SRPJ de Lyon.

L'aîné, un homme «connu dans son quartier pour sa personnalité perturbée», «prend l'entière responsabilité de l'action et a vraisemblablement agi seul», selon une source judiciaire.

Il a expliqué aux enquêteurs avoir été «pris d'un coup de colère» contre la victime «à qui il en voulait pour un motif d'ordre privé», dans la nuit de vendredi à samedi vers 3 heures.

La tête n'a pas été retrouvée.
Armé d'un couteau de cuisine, il serait alors monté dans son appartement, deux étages plus haut, et lorsque le sexagénaire lui a ouvert la porte, il lui aurait porté plusieurs coups de couteau à la gorge.

Après avoir décapité sa victime, le meurtrier s'est ensuite débarrassé de la tête, «vraisemblablement dans le vide-ordure» et elle n'a pu être retrouvée. La victime, un homme de 62 ans vivant seul dans son appartement du 9e arrondissement de Lyon et employé à temps partiel dans une entreprise de pompes funèbres, avait été découverte samedi à son domicile par son frère, inquiet de ne pas avoir de ses nouvelles.

Le meurtrier présumé devrait être déféré au parquet «lundi dans la journée». La garde à vue de son jeune frère a également été prolongée de 24 heures, selon la même source.

Isère
Un homme de 70 ans a égorgé sa femme à Villefontaine hier.
C’est leur fils qui a découvert le corps dans l’appartement de la famille.
Dans le même temps, le meurtrier présumé s’est présenté aux gendarmes. Il a immédiatement été placé en garde à vue puis auditionné. Selon les premières constatations de la gendarmerie, l’arme du crime serait un couteau de cuisine retrouvé sur les lieux du crime. Le corps de la victime, âgée de 64 ans, sera autopsié aujourd’hui. On ne connait pas encore les raisons de ce coup de folie.